Pendant des siècles les aventuriers et les explorateurs ont recherché l’insaisissable et magique « fontaine de jouvence ». De séduisantes histoires ont été écrites et des films ont été tournés sur leurs exploits réels ou imaginaires. Au fond de notre cœur, la part nostalgique de la plupart d’entre nous aspirait à ce qu’une telle fontaine existe vraiment, en même temps que notre côté adulte et réaliste savait, avec regret, qu’il n’en était rien.
Néanmoins, il y avait des cas particuliers propres à nous donner de l’espoir, montrant que le vieillissement n’était pas forcément une sentence de sénilité. A une époque où l’espérance de vie moyenne des Grecs était de 18 ans, Périclès en avait 69 quand il fit son oraison funèbre, qui est la base de la pensée démocratique moderne. Michel-Ange commença son travail sur la Piétà Rondanini alors qu’il avait presque 80 ans, et Goethe en avait 84 quand la deuxième partie de Faust fut publiée pour la première fois.
Ce chapitre expose la véritable histoire de ce que le professeur Linus Pauling a nommé une « orthomolécule » : une molécule qui est « orthodoxe » (nous avons conservé le terme original à cause de la racine « ortho » ; une « molécule orthodoxe » est une molécule qui est en conformité avec nos besoins NDT) pour l’organisme, qui est apportée par notre alimentation habituelle, qui connaît les défenses de l’organisme, qui est reconnue par celles-ci comme étant sans danger et qui ne comporte aucun effet secondaire préjudiciable. En réalité, il s’agit d’une substance lipidique, une biomolécule unique qui peut se dissoudre, à la fois, dans l’eau et dans les graisses ou les huiles, qui est déjà présente dans chacune des cellules de notre corps, mais d’une manière prédominante dans les cellules cérébrales, et qui est un moyen fiable de remonter le temps sur l’horloge d’un cerveau qui vieillit. Il s’agit du complément nutritionnel. Il porte le nom difficile à prononcer de phosphatidylsérine. Il est sûr que tous les aventuriers dont nous parlions n’auraient jamais imaginé un nom aussi improbable pour leur découverte. Nous l’appellerons Phosphatidylsérine, en raccourci.
Disponible en Europe depuis des années, la phosphatidylsérine, Phosphatidylsérine, « imprègne » et régénère les membranes des cellules cérébrales. Le docteur Parris M. Kidd, biologiste de la cellule internationalement reconnu et faisant autorité en matière de nutrition et de santé humaine totalité de la Phosphatidylsérine dans le monde entier l’appelle « le meilleur et unique moyen de conserver la mémoire et toutes les autres fonctions nobles du cerveau ». Et le docteur Crook, dont l’équipe internationale a mené des recherches approfondies, au sein de dizaines des principales universités, sur presque tous les médicaments développés dans les vingt dernières années pour traiter l’affaiblissement, énonce catégoriquement : «La Phosphatidylsérine est de loin le meilleur de tous les médicaments et compléments nutritionnels dont nous disposons pour retarder l’affaiblissement de la mémoire lié à l’âge (AAMI – Age-Associated Memory Impairment – (NDT) ».
L’utilisation de la Phosphatidylsérine, cette substance rare permet d’inverser le cours des ravages du temps sur la mémoire.
Les talents multiples de la Phosphatidylsérine
Dans notre organisme, la Phosphatidylsérine est le plus fortement concentrée dans la couche interne des membranes des cellules cérébrales. La membrane agit non seulement comme support structurel, limitant l’extension de la cellule dans toutes ses directions, mais, plus important encore, elle est directement et activement impliquée dans le transfert de l’information au travers de l’espace synaptique d’une cellule à l’autre.
La Phosphatidylsérine agit sur de multiples systèmes neurochimiques. Elle améliore l’action des récepteurs situés sur la surface membranaire de la cellule cible et elle favorise la production et la libération de neurotransmetteurs spécifiques, à savoir l’adrénaline, la noradrénaline, la sérotonine et la dopamine. Différentes études ont suggéré que la Phosphatidylsérine puisse activer les voies de la dopamine et de la sérotonine chez les humains non-séniles, tout autant que chez les patients affectés de démence présénile. En d’autres termes, la Phosphatidylsérine est primordiale pour ses effets sur les neurotransmetteurs qui participent au transfert des messages d’une cellule à l’autre et, en conséquence, pour une bonne mémoire.
En restaurant l’action de la Phosphatidylsérine dans les membranes cellulaires vieillissantes, avec un complément nutritionnel qui en contient, nous maintenons les pôles émetteurs et récepteurs des neurones plus accessibles à l’interaction chimique et au transfert des impulsions électriques. Ainsi, les nouvelles informations peuvent plus aisément élaborer un nouveau schéma de transmission électrique dans notre cerveau, et être plus facilement converties en information à se rappeler. Nos souvenirs sont revigorés, et peut être même « remis à neuf ».
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