S’il est naturellement présent dans mes aliments, pourquoi a t’on besoin d’un complément de Phosphatidylsérine ?

On trouve un peu de Phosphatidylsérine dans des aliments habituels comme le poisson, le riz, les produits à base de soja et les légumes verts, et la Phosphatidylsérine est un élément essentiel de notre alimentation. Le problème, c’est qu’il est difficile de recevoir suffisamment de Phosphatidylsérine au travers de nos aliments pour relancer les cellules cérébrales qui vieillissent. Comme avec bien des aspects du vieillissement, dans la mesure où nous n’avons pas été programmés par l’évolution pour vivre vieux, les quantités de Phosphatidylsérine que nous recevons de notre alimentation normale ne sont pas suffisantes pour satisfaire à nos besoins jusqu’à un âge avancé. Et cela, bien qu’elles soient satisfaisantes pour couvrir ces besoins jusqu’à un âge moyen (une vie entière au cours des époques préhistoriques). C’est pourquoi nous avons besoin de Phosphatidylsérine supplémentaire laquelle, heureusement, agit exactement de la même manière que la Phosphatidylsérine présente dans nos aliments.

Prise oralement, la Phosphatidylsérine est rapidement absorbée et traverse aisément la barrière hémato-encéphalique, un protecteur biochimique naturel qui entoure tous les capillaires cérébraux et prévient la « diffusion » des substances nocives de la circulation sanguine vers le cerveau. De la Phosphatidylsérine, marquée par un radio-isotope pour la distinguer de celle synthétisée par l’organisme), administrée à des souris en injection intraveineuse, a été absorbée dans les tissus cérébraux en quelques minutes. La comparaison des différentes zones du cerveau a montré que la part la plus importante de la Phosphatidylsérine se trouvait dans le cortex, l’hippocampe et l’hypothalamus, assurant, de ce fait, que les zones connues pour être au cœur des processus de la mémoire étaient suffisamment approvisionnées par le complément.

La Phosphatidylsérine est primordiale pour des cellules bien spécifiques dans nombre de domaines :

La couche la plus extérieure de la cellule, la membrane (qui est particulièrement concentrée en Phosphatidylsérine), participe au contrôle de l’entrée des nutriments dans la cellule et à l’expulsion des déchets. Les protéines membranaires, qui ont besoin de la Phosphatidylsérine pour maintenir toutes leurs aptitudes fonctionnelles, transforment la membrane en une sorte de voie de communication principale pour la cellule, participant aux mouvements cellulaires et aux changements de formes, tels que la rétraction de l’expansion.

En plus de la communication inter-cellules, mentionnée ci-dessus, les protéines coopèrent également avec la cellule dans la transmission des « messages » chimiques ou électriques, de l’extérieur de la  cellule vers l’intérieur.

Jusqu’à aujourd’hui, plus de soixante études humaines sur la PS  ont été publiées dans des revues professionnelles, parmi lesquelles presque un tiers comportait un groupe de contrôle placebo et avait été effectuées en double aveugle  (l’étalon-or de la recherche universitaire). Elles montraient toutes que la Phosphatidylsérine  a la capacité d’inverser le cours de la sénescence, pour des cerveaux non-malades, et de revitaliser leurs fonctions mémorielles. De plus :

• La Phosphatidylsérine peut aider à faire face au stress.
• La Phosphatidylsérine régule la biochimie et la physiologie du cerveau à tous les niveaux.
• La Phosphatidylsérine est sans danger et n'a aucun effet indésirable.

Comme l’écrit le docteur Kidd : "Avec près de 3000 publications professionnelles disponibles sur les recherches concernant la Phosphatidylsérine, la science possède certains éléments de compréhension sur la manière dont elle agit. C’est le meilleur nutriment (et réellement, le meilleur veut dire le seul) pour conserver et reconstituer sans danger les fonctions les plus nobles et délicates du cerveau (ce que l’on nomme la cognition). Les remarquables bénéfices de la Phosphatidylsérine et l’absence de danger de son utilisation sont maintenant établis au-delà de tout doute. Ce qui reste à faire, c’est de diffuser le message auprès de ceux qui pourraient bénéficier de la Phosphatidylsérine".