Les neurones produisent des signaux chimiques et des messages électriques qui circulent par l’intermédiaire des synapses reliant nos cellules cérébrales, et les souvenirs sont stockés, non pas dans les neurones ou les synapses eux-mêmes, mais plutôt dans le schéma des connections entre neurones. Le stockage primaire de la mémoire implique des modifications dans la solidité de ces schémas. En d’autres termes, quand une nouvelle information survient, elle s’incorpore dans notre mémoire en modifiant le schéma des impulsions électriques qui la transportent par l’intermédiaire de nos neurones. De ce fait, le stockage à long terme des souvenirs entraîne le développement de nouvelles connections synaptiques entre les neurones.
Alors que nous vieillissons, les neurones et leurs synapses, tout particulièrement ceux qui passent par des filières de neurones non utilisées de manière régulière, ont tendance à devenir moins conducteurs des impulsions électriques. En conséquence, les filières ou les schémas inutilisés se « ferment », voire disparaissent (tout à fait comme une voie d’eau abandonnée peut s’envaser et devenir non navigable), et nos souvenirs peu utilisés s’altèrent ou s’effacent complètement. Seules les principales filières de notre esprit, celles que nous employons constamment, demeurent aussi ouvertes que par le passé.
Il s’ensuit que, si nous pouvons améliorer la conductivité du système cellulaire neurones/synapses, très fragile et très complexe, nous aurons résolu la première étape, fondamentale de l’énigme, savoir, comment réduire au minimum, éviter ou même inverser le cours de l’affaiblissement de la mémoire lié à l’âge. C’est ce que va réaliser la Phosphatidylsérine, complément nutritionnel
Pour simplifier, nous avons décrit l’action d’une impulsion isolée dans la transmission de ses « messages » électriques et chimiques. Cependant, en réalité, chaque nerf et chaque voie neuronale se composent de nombreux paquets, qui à leur tour sont constitués de centaines et de centaines d’axones. Ensemble, le tissu nerveux du cerveau (sa couche externe ou cortex) et la moelle épinière constituent les « petites cellules grises ». En réalité, ces cellules sont plus bronzées que grises.
Ainsi, la première cause de l’affaiblissement de la mémoire lié à l’âge est la réduction progressive de la conductivité électrique de nos cellules. Il nous est possible de combattre cette réalité en utilisant le phospholipide approprié en complémentation nutritionnelle.
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